Tempête géomagnétique G1 et ses impacts

lesdiamantslibres Par Le 05/04/2025 à 18:40 0

Dans Géophysique

Tempête géomagnétique G1 et ses impacts (traduction de la vidéo du 04/04/2025) voici le lien de la vidéo originale : https://youtu.be/dzTbOHYU4Fk

Stefan Burns, géophysicien, annonce une tempête géomagnétique G1 en cours le 4 avril, due à un vent solaire volatile et une tempête protonique S2 récente. Cette volatilité énergétique, amplifiée aux pôles, affecte le champ magnétique terrestre et nos rythmes cardiaques via le champ bioélectrique. Une géométrie planétaire rare (Saturne sextile Uranus sextile Mars) ajoute de l’énergie aujourd’hui, tandis que des taches solaires, comme 4048, et un grand boucle coronal pourraient déclencher d’autres événements.

La tempête influence la santé (cœur, ADN, métabolisme), et Burns recommande l’earthing (pieds nus ou chaussures en cuir de wildfreeorganic.com) et des tisanes (« Spirituality », « Tranquility ») pour calmer le corps. À long terme, le 23 avril (trou coronal) et le 17 mai (Uranus Kazimi) pourraient voir une volatilité accrue. Le Soleil est calme mais à surveiller. Abonnez-vous à sa chaîne pour suivre ces phénomènes terrestres et cosmiques !

Une tempête géomagnétique G1 en cours !

Salut à tous, ici Stefan Burns, géophysicien. Nous sommes actuellement en pleine tempête géomagnétique G1. Cette augmentation de la volatilité géomagnétique se construit depuis plus de deux jours maintenant. Nous assistons à une montée progressive de la volatilité énergétique sur notre planète, due à des conditions changeantes du vent solaire et à une tempête de radiations protoniques qui vient de se terminer. Cette tempête a surchargé les régions polaires, renforçant l’ionosphère. Avec ce vent solaire volatile qui arrive maintenant, cela a été suffisant pour déclencher une tempête géomagnétique G1. Il y a donc une volatilité énergétique accrue sur toute la planète en ce moment, ce qui signifie aussi une volatilité accrue pour nous et notre champ bioélectrique.

Impact sur le cœur et le champ magnétique terrestre

Notre cœur est étroitement connecté au champ magnétique terrestre, et nous observons des altérations de la variabilité du rythme cardiaque et des rythmes de notre champ bioélectrique lors de périodes de volatilité géomagnétique, comme celle que nous vivons сейчас. Dans cette vidéo, nous allons détailler ce qui se passe sur Terre aujourd’hui. C’est aussi une journée assez particulière, car une géométrie planétaire significative est active en ce moment : Saturne est en sextile avec Uranus, qui est en sextile avec Mars, et Mars forme un trigone avec Saturne. Cet alignement n’arrive pas souvent, c’est un cycle synodique de 45 ans entre Saturne et Uranus, et nous sommes au sextile de fermeture. Tout cela se déroule sous ces conditions planétaires, avec de grosses taches solaires directement face à la Terre. Nous allons explorer tout cela et bien plus dans la vidéo d’aujourd’hui.

Oscillations du champ magnétique global

Commençons par examiner les oscillations du champ magnétique qui se produisent à travers la planète, résultat de ces conditions améliorées du vent solaire. Voici notre carte mondiale « Geospace Delta B », où « B » représente le champ magnétique. Nous observons les changements dans le champ magnétique à l’échelle globale. Ce modèle, mis à jour en continu, utilise des données de nombreux magnétomètres autour du monde et fonctionne sur des périodes de trois heures. En filmant ceci, je regarde les trois dernières heures, et on remarque immédiatement ces zones rouge foncé dans les régions polaires, indiquant des oscillations importantes du champ magnétique. Dans l’échelle « Delta B », les couleurs froides montrent peu de changement, tandis que les rouges foncés atteignent 400 nanoteslas et plus. Ces oscillations sont présentes dans les régions de moyenne latitude et équatoriales, dépassant les 100 nanoteslas, mais elles sont bien plus fortes aux pôles.

Pourquoi les pôles sont surchargés

La raison ? La plupart de l’énergie se dirige vers les pôles. Nous venons de sortir d’une tempête de radiations protoniques S2, qui a surchargé l’ionosphère dans ces zones. Voici le modèle « Delta B » spécifique aux régions polaires, avec la même échelle de couleurs. Ces oscillations sont plus fortes là où se trouvent les pôles magnétiques : le pôle sud magnétique est près de l’Antarctique, et le pôle nord magnétique entre le Canada et la Sibérie. L’énergie du vent solaire et des particules énergétiques solaires s’écoule le long de ces lignes de champ vers l’ionosphère, la couche supérieure de l’atmosphère composée à 1 % de plasma, un état hautement chargé avec électrons, protons et ions comme l’oxygène. Cela crée des courants électriques puissants, générant des champs magnétiques perpendiculaires au flux, amplifiant les changements dans le champ magnétique terrestre.

La tempête protonique S2 expliquée

Ces courants électriques sont plus intenses après un événement de surcharge ionosphérique, comme juste avant cet impact du vent solaire. Nous venons de sortir d’une tempête de radiations protoniques S2. Voici le flux de protons des 7 derniers jours, mesuré par le satellite GO à 5,6 rayons terrestres dans les ceintures de radiations externes, dominées par les électrons, mais ici nous mesurons les protons. On observe une forte augmentation du flux de protons le 1er avril, après une éjection de masse coronale massive le 28 mars. Cette explosion a créé une onde de choc solaire, accélérant ces particules, principalement des protons, qui ont fini par atteindre la planète. Cela a pris du temps, car elle est partie du côté est du Soleil, moins connecté magnétiquement à la Terre, mais nous avons atteint un niveau S2.

Analyse des niveaux de protons

Regardons ces valeurs précisément : le flux de protons de plus de 10 mégaélectrons-volts (MeV) a atteint environ 140, contre 0,2 en conditions normales, une augmentation spectaculaire. Les protons de plus de 50 MeV ont doublé, mais rien de comparable aux 10 MeV. Les protons de plus de 100 ou 500 MeV n’ont pas bougé, ce qui arrive lors d’événements extrêmement rares et parfois inquiétants. Le pic du 1er avril a apporté une vague d’énergie massive, encore légèrement élevée aujourd’hui, mais surtout dirigée vers les régions polaires via les lignes de champ, rechargeant l’ionosphère et renforçant les courants qui causent cette tempête G1, malgré des conditions de vent solaire modérées.

Conditions actuelles du vent solaire

Examinons les données en temps réel du vent solaire fournies par la NOAA. En bas, l’indice KP mesure la volatilité géomagnétique, de 0 à 9. À 5, on entre en tempête G1, à 6 c’est G2, et à 9, G5. Une tempête G1 est la plus faible ; en-dessous, c’est juste instable. Avec un KP très bas, le champ magnétique est calme. Nous étions dans ces conditions calmes avant, avec une vitesse du vent solaire faible, une densité normale et un champ magnétique interplanétaire stable. Mais le 31 mars et le 1er avril, une première onde de choc a fait passer le champ magnétique total de 7 à 12 nanoteslas, puis une seconde l’a porté à 15, rendant les conditions agitées.

Comment la tempête G1 se forme

La composante BZ du champ magnétique, orientée verticalement, est devenue négative. Comme le champ terrestre est positif dans cette direction, les deux se connectent efficacement, comme des aimants opposés. Cela permet au plasma du vent solaire de pénétrer le champ magnétique terrestre, puis la plasmasphère, et enfin l’ionosphère, chargeant le circuit électrique global. Ces courants ionosphériques, à 100-300 km au-dessus de nous, créent les oscillations magnétiques que nous ressentons en surface, bien plus que les perturbations lointaines de la magnétosphère. Avec un vent solaire assez fort (proche de 15 nanoteslas contre 5 en temps normal), les conditions sont agitées, mais sans la tempête protonique S2, cela n’aurait pas suffi pour une G1.

Effets sur la santé et le bien-être

C’est pourquoi nous avons cette volatilité géomagnétique accrue, liée à nos rythmes cardiaques. Toute la biologie est bioélectrique, influencée par les forces électromagnétiques externes, et nous influençons aussi ces champs par nos processus internes. Notre corps accumule une charge positive via le métabolisme et les radicaux libres, mais se connecter à la Terre, réservoir de charge négative via les électrons libres, équilibre cette charge. Cela améliore santé et bien-être. Pendant une tempête géomagnétique comme celle-ci, je recommande l’earthing : marcher pieds nus sur l’herbe ou le béton (pas l’asphalte, non conducteur). Pour un ancrage maximal, nagez dans une eau salée comme l’océan ou le Grand Lac Salé.

Comment optimiser son énergie

Le cœur génère le champ électromagnétique le plus fort du corps, pulsant à environ 1 Hz (60 battements par minute), avec de légères variations créant la variabilité du rythme cardiaque (HRV) et d’autres rythmes bioélectriques, de hautes à très basses fréquences (jusqu’à 0,003 Hz). Une tempête géomagnétique produit des pulsations géomagnétiques similaires (5 Hz et moins), connectant directement nos rythmes cardiaques au champ terrestre, surtout pendant ces événements. Ce champ cardiaque influence tout le corps, guidant les gradients de voltage cellulaire et le flux d’ions (sodium, potassium, calcium), ce qui peut déclencher des changements bioélectriques plus larges, comme l’ouverture de canaux ioniques.

ADN et conscience pendant les tempêtes

Ces gradients de voltage cellulaires sont liés à l’ADN, guidant le comportement cellulaire et l’expression des protéines. Une cellule souche, par exemple, se transforme selon le signal bioélectrique reçu. L’ADN agit comme une antenne fractale supraconductrice, connectant les champs électromagnétiques sur une large gamme de fréquences. Pendant une tempête G1, tout cela devient plus volatile, affectant le métabolisme. Il est crucial de calmer consciemment son corps vers un état parasympathique (reposé et détendu) via l’earthing. Mes chaussures d’earthing en cuir naturel sur wildfreeorganic.com maintiennent cette connexion, unlike les semelles en caoutchouc classiques, avec un plug au méridien K1 pour un flux énergétique optimal.

Solutions pour la volatilité énergétique

Pour réduire la charge corporelle pendant ces périodes, évitez l’asphalte et privilégiez les surfaces naturelles. Depuis l’arrivée des semelles en caoutchouc, les problèmes de santé ont augmenté ; mes chaussures tout cuir sont les meilleures du marché. J’offre aussi des mélanges de tisanes comme « Spirituality » et « Tranquility » sur wildfreeorganic.com, parfaits pour activer le système parasympathique, calmer le système nerveux et soutenir la santé intestinale (70 % de l’immunité). « Tranquility » (racine de pissenlit, camomille, citronnelle, lavande) est idéal pour le ventre, tandis que « Spirituality » booste les rêves et la connexion à la conscience solaire, favorisant des révélations personnelles.

Résonances planétaires Saturne-Uranus-Mars

N’oublions pas la géométrie planétaire active aujourd’hui, 4 avril : Saturne en sextile avec Uranus, lui-même en sextile avec Mars. Depuis la Terre, cet alignement culmine aujourd’hui, un sextile de fermeture dans un cycle Saturne-Uranus de 45 ans, qui s’éteindra d’ici un an ou deux. Mars ajoute de l’énergie et du feu. Pour un aperçu à long terme, le 23 avril marquera le retour d’un grand trou coronal (8e rotation), potentiellement augmentant la volatilité énergétique. Plus critique encore, du 16 au 18 mai, avec un pic le 17 mai : un Uranus Kazimi (Terre-Soleil-Uranus alignés) et une géométrie héliocentrique intense (Mars opposé à Saturne, Vénus opposée à Jupiter, Mercure actif) pourraient signaler des événements majeurs.

Activité solaire actuelle et taches solaires

Regardons le Soleil du 2 au 4 avril : peu d’activité notable. Quelques petits trous coronaux et taches solaires (4048 a réduit son activité, 4046 reste géoeffectif après une éruption X1.1). Un grand boucle coronal à l’ouest attire l’attention par sa taille et sa stabilité. Cette région, magnétiquement connectée à la Terre, est très lumineuse et énergétique. Si elle se déstabilise, une éruption pourrait déclencher un nouvel événement de particules solaires. Le groupe 4048, bien que dispersé, est en position centrale face à la Terre aujourd’hui, restant la plus grande tache solaire active, avec un potentiel d’activité imprévisible.

Conclusion et invitation

Nous sommes dans une tempête G1, avec un vent solaire volatile. Je vous tiendrai informés sur cette chaîne, alors abonnez-vous ! Je suis Stefan Burns, et ici nous explorons l’énergie terrestre (géologie, géophysique), l’activité solaire, les résonances planétaires et les forces cosmiques. Si cela vous plaît, rejoignez-moi ! Découvrez aussi mes produits bien-être holistiques sur wildfreeorganic.com : tisanes comme « Spirituality » et chaussures d’earthing. Merci à tous, prenez soin de vous, et à bientôt dans la prochaine vidéo !

geophysique soleil

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