Vous vous demanderez peut-être s’il faut absolument qu’une huile essentielle soit bio ? Oui mais pas seulement, car parfois nous n’avons pas d’autre choix que de nous tourner vers une culture conventionnelle. La première chose est d’être d’accord sur l’identité de l’HE dont on parle.
La qualité d'une huile essentielle dépend de nombreux facteurs. En premier lieu : de l'espèce bontanique, du lieu et du type de culture (bio, conventionnelle, sauvage).
Et en second lieu, de la qualité de sa production, du type de cuve, du temps de disitllation, de son conditionnement, des conditions de stockage et de transport.
Il est donc necessaire de se procurer ses huiles essentielles chez des producteurs respectueux de dignes de confiance. Les fournisseurs d'huiles essentielles doivent être en mesure de produire des fiches comportant le mode de culture, l'origine exacte de chaque lot, l'année d'extraction et pour chaque lot, une chromothérapie en phase gazeuse donnant la porportion de ses composants.
A noter : Il est très facile de produire des huiles essentielles synthétiques ou reconstituées qui imitent assez bien les vraies. Celles qui sont le plus souvent falsifiées sont aussi les plu schères: HE de rose, de mélisse, de camomille, de canelle de Ceylan. Ces huiles frelatées peuvent être tolérées en parfumerie, en solderie, mais en aucun cas en pharmacie ou en médecine.
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